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Voici
la copie dun rapport écrit par Glen Whittaker,
responsable dEV en Grande-Bretagne, à
lintention de Ros Sutton, qui était alors la
responsable de léquipe internationale
'Relations Publiques'
dEV.
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REPORT BY G.W. FOR R.S Réflexion RP Août 1997 Il me semble, Ros, que les deux domaines principaux où une presse défavorable pourrait se faire jour, disons les deux prochaines années, sont : (1) lintérêt grandissant dans et de la soi-disant Tradition Radhasoami qui pourrait affirmer que M nest quun des nombreux maîtres qui constituent une nouvelle tradition religieuse indienne, donnant un message similaire et enseignant des techniques de méditation similaires, et (2) la discussion qui saccroît rapidement sur Internet à propos de M, ce qui comporte de nombreux aspects négatifs. Je mexprimerai brièvement et complètement sur ces deux sujets, afin que tu aies une bonne compréhension de ce qui se passe (sur Internet, ndt) sans que tu soies obligée de ty plonger. Tout ceci a été porté à lattention du public, bien quil sagisse dun cercle réduit, grâce au travail de deux universitaires de la côte ouest, Mark Juergensmeyer, Professeur de Sociologie à lUniversité de Californie, Santa Barbara, et David Christopher Lane, Professeur de Philosophie au Mount San Antonio College, Walnut, California. Juergensmeyer a écrit louvrage principal, 'The Radhasoami Tradition' (La Tradition Radhasoami), édition reliée de 1991 et édition brochée de 1996, avec laide de David Lane. Ce dernier a écrit dautres livres et articles sur le sujet, notamment 'The Radhasoami Tradition - A Critical History of Guru Successorship' (La Tradition Radhasoami Une histoire critique de la succession des gourous) et 'Exposing Cults' (Les Sectes Démasquées) en 1994. Le livre de Juergensmeyer renferme une bibliographie extensive dautres ouvrages sur le sujet, darticles et de publications, tant en occident quen Inde. [Note: Louvrage de D. Lane (ainsi que nombre dautres articles) est disponible en ligne sur son site, The Neural Surfer] 'Radhasoami Reality', le livre de Juergensmeyer, affirme que cette tradition remonte à un nouveau mouvement religieux dont le fondateur est un maître parfait bien connu, Shiv Dayal Singh, entre les années 1850 et sa mort en 1878. Basé à Agra, il a dit que son propre maître était Tulsi Sahib, dun lignage qui remonte aux sants du moyen âge, dont Kabir et Nanak font partie. Kabir est considéré soit comme la source, soit comme un interpréte tout à fait majeur de son enseignement, et il a actuellement ses propres disciples appelés Kabirpanthis. Mais Dayal Singh est considéré comme le fondateur de RT (Radhasoami Tradition) à cause du succès de son enseignement et de ses écrits, et par le fait quil est reconnu comme ancêtre commun par 'plus dune douzaine de lignages distincts de maîtres vivants au sein de la famille Radhasoami'. Tulsi Sahib et de Shiv Dayal Singh enseignent limportance du maître qui peut révéler le son intérieur et la vision intérieure. Pour citer le livre (de Juergensmeyer, ndt) atteindre sa demeure ultime, voilà en quoi consiste le salut pour Radhasoami. On peut le faire par la grâce du maître divin, mais en suivant péniblement les instructions du 'surat shabd yoga', les disciples ont lopportunité de participer à leur propre salut. Linitiation à ces pratiques est équivalente au baptême dans cette foi. Shiv Dayal Singh dit que 'lEtre Suprême se manifeste sous la forme dun maître pour expliquer le secret de sa demeure originelle, et pour enseigner la méthode pour atteindre cette demeure.' Il a eu beaucoup de disciples, et sur les lieux où il a médité, se trouve maintenant une communauté nommée Soamibagh, et un tombeau de marbre élaboré est bâti à sa mémoire, dans lintention de rivaliser avec le Taj Mahal qui en est proche. Après la mort de nombreux maîtres depuis cette époque, il y a invariablement eu des querelles de succession, avec comme résultat divers prétendants, dont des fils et des proches. Parmi les cinq qui ont suivi le fondateur, lun deux, Jaimal Singh, était un soldat punjabi résidant à Agra. Il a commencé un lignage dans sa ville de Beas. Lun de ses successeurs était un maître renommé, Sawan Singh (maître de 1903 à 1948), qui a eu des disciples britanniques et américains. Lun deux, Julian Johnson, a écrit deux best sellers au sujet de ses expériences 'With a Great Master in India' (En Inde avec un Grand Maître), and 'Path of the Masters' (La Voie des Maîtres). Sawan Singh fut suivi (parmi 5 prétendants) par Kirpal Singh (1948-1974) je citerai plus tard quelque chose qui sappelle 'la statistique de Kirpal' et simultanément par Jagat Singh qui eut le fameux maître Charan Singh (1951-1990) comme successeur. La plupart avaient le titre de Maharaji. (Charan Singh donna une conférence au Chelsea Town Hall au début des années 70. Notre Charananand et quelques disciples de la première heure y assistèrent; cest à cette occasion que Venetia Stanley-Smith rencontra Charananand, dont elle dit quil brillait plus que le gourou). Parmi ceux qui se succédèrent à Agra, le principal successeur, qui a semblé appointé par le défunt maître précédent, fut Saligram, 1878-1898. Il fit du mouvement une grande organisation. Il fut succédé entre autres par 'Misra' (1898-1907), dont un des successeurs fut Sinha (1907-1913) qui eut lui-même deux successeurs dont lun était Anand Swarup, aussi connu sous le nom de Sahebji Maharaj 1913-1937. Il semble quil soit la même personne que Sarupanand, le maître de Shri Hans. [Il sagit ici dune erreur. Pour plus de détails, lire plus bas les commentaires de Patrick Wilson. LAnand Swarup dont il est ici question nest pas le Swarupanand (Sarupanand) de la lignée Sant Mat dont Shri Hans fut disciple et successeur sectateur dans la bonne tradition de ses prédécesseurs. Pour ajouter à la confusion due à cette homonymie de gourous, Hans avait aussi été disciple de Sawan Singh, avant de rencontrer Swarupanand. Tout ceci navait pas encore été éclairci en 1997. Ce qui concerne Anand Swarup dans le texte qui suit est donc hors propos. Ndt] Shri Hans nest pas mentionné dans ce livre, le successeur principal dAnand Swarup étant Gurchandras Mehta (1936-75), dont le successeur est le Dr. MB. Lal, toujours vivant et très âgé. A la fin de ce tableau généalogique complexe dont ce qui précède a été tiré, se trouve une note selon laquelle un certain nombre de gourous et de groupes nont pas été inclus ici, à cause de la modestie de leur organisation, de la petite taille de leur groupe ou de leur peu dimpact. Grâce à Patrick Wilson, nous savons que Lane est au courant de Shri Maharaji, et on peut logiquement, mais inexplicablement supposer que Maharaji et lui sont couverts par cette note. Il vaut la peine de noter un certain nombre de faits à propos de la RT, 1 . Il y a beaucoup de discussion à propos des successions. Quelquun est parfois appointé par le maître précédent, plus souvent il y a un interrègne avant lémergence du successeur. Il se tient en retrait avant de se montrer. 2 . Le mot Radhasoami ne fut pas utilisé par le fondateur, Shiv Dayal Singh (parfois appelé Swami Shiv Dayal). Il fut pour la première fois utilisé par Saligram qui lenseigna comme un des noms de Dieu sur lequel on pouvait méditer. Il semble que ce soit en référence à Krishna, signifiant littéralement seigneur de Radha (la femme de Krishna). 3 . Les divers maîtres de RT étaient bien éduqués, tous issus de la classe des marchands, et ils parlaient anglais. Ils étaient issu de familles plus éclairées que la plupart des indiens, ayant embrassé de nouvelles variétés de lhindouisme réformé, tel lArya Samaj. Anand Swarup avait appartenu à lArya Samaj dans sa jeunesse, et il est dit que Swami Dayanand, fondateur de lArya Samaj, avait été initié par Shiv Dayal Singh. Tant de membres de lArya Samaj sétaient convertis à la RT que des rivalités apparurent entre les deux groupes. 4 . Bien quune colonie résidente de RT (branche dAgra) ait grandi à Soamibagh, quand Anand Swarup devint maître, il commença sa propre colonie à proximité dans un lieu appelé Dayalbagh. Il y eut jusquà 12.000 personnes, et Dayalbagh devint une communauté industrielle prospère, fabricant des accessoires de toilette, des chaussures, etc. Il fut fait chevalier pour cela. 5 . Mehta fut le successeur dAnand Swarup. Il était ingénieur et cest lui qui commença à développer et étendre Dayalbagh. Mais ce fut la stagnation après lindépendance de l'Inde. Ses critiques disent quil insista trop sur le développement économique, ignorant le côté spirituel de la communauté. Après sa mort en 1975, certains de ses discours furent publiés, et ils montraient bien son souci des questions organisationnelles. 6 . Un des NMR (Nouveaux Mouvements Religieux) majeurs, Eckankar, fondé par Paul Twitchell (décédé dans les années 70), est basé sur la philosophie et les pratiques de méditation de la RT. Paul Twitchell avait été initié par un des premiers maîtres RT qui avaient visité les USA; ses nombreux écrits expriment une philosophie bizarre et complexe, incluant le voyage astral et la signification des rêves. 7 . Tous les écrits concernant la RT que jai trouvé ne se réfèrent quà la lumière et au son. Ils semblent quils passent à côté du concept du verbe quils semblent confondre avec le son intérieur. 8 . Selon la table généalogique de Juergensmeyer/Lane, un maître RT vivant actuellement est une américaine, Judith Lamblion, de Salt Lake City. Un autre est Rajinder Singh qui a un centre à Chicago, et un autre, Thakar Singh, est à Dehra Dun. David Christopher Lane, qui a compilé les tableaux généalogiques publiés dans le livre de Juergensmeyer, était et semble être un Chrétien catholique qui fait autorité dans le domaine des sectes actuelles, y compris la Tradition Radhasoami, pour les déboulonner. Il a souligné les abus sexuels et criminels dun maître américain fameux, John Hoskins, fondateur du M.S.I.A., ce qui na pas empêché la croissance de ce mouvement. Il manifeste de la sympathie pour le culte qui entoure Da Free John, le gourou californien quil décrit comme un maître spirituel authentique et profond, et qui demande une obéissance totale à ses disciples sous une forme extrême, incluant des relations sexuelles avec les femmes qui sont ses disciples. Ceci pour prouver que Lane nest pas entièrement concerné par la RT. Comme je te lai dit, Patrick Wilson, le critique britannique sur Internet, ma dit que Lane avait donné les techniques de la connaissance à ses étudiants pour prouver quelles marchaient quelle que soit la personne qui les révélait. En lisant le livre de Lane, jai découvert que ça nétait pas totalement exact. Dans une section appelée la Statistique de Kirpal, il souligne que Kirpal Singh, un maître bien connu de la RT qui est mort en 1974, avait gardé une liste des 80.000 personnes quil avait initié par centaines, et de leurs expériences lors de la session de méditation qui suivait linitiation. La plupart disaient avoir eu une expérience intérieure de lumière et de musique. Même les personnes qui avaient été initiées après sa mort à laide dun enregistrement du maître donnant linitiation avaient une expérience similaire. Pour le tester, alors que Lane enseignait dans une université catholique au début des années 80, dans une pièce sombre, il simulait une initiation avec des élèves, et il leur demandait de se focaliser sur le troisième il proverbial, et les touchait sur le front. Puis ils méditaient pendant cinq minutes. A mon grand étonnement, alors que je croyais que Kirpal Singh et les autres transmettaient vraiment un pouvoir spirituel, la majorité de mes étudiants rapportaient des expériences de lumière . dautres avaient entendu des sons. Jai recommencé cette expérience pendant des années avec mes étudiants. Il en conclut que nimporte qui pratiquant les techniques aurait des expériences similaires. Il croit donc que les affirmations des maîtres sont déboulonnées. Il nest pas nécessaire daller voir un gourou indien pour avoir de telles expériences, il nest pas nécessaire daller où que ce soit. Le rapport entre tout ceci et Internet, cest que non seulement les quatre techniques sont décrites sur le site, à lancienne mode, avec des dessins, mais il y a aussi des discussions détaillées de la manière dont M donne la C aujourdhui, cest à dire avec laide dune vidéo. La question cest que, si une telle vidéo était largement diffusée, est-ce que cela éviterait le besoin davoir M en personne. Cest aussi ce dont il sagit dans la statistique de Kirpal. OK, voilà une description générale de ce dont il sagit dans les recherches sur la Tradition Radhasoami, et qui va devenir de plus en plus accessible au public avec le temps qui passe. Il nest pas difficile de le gérer, bien quil faille supposer que les techniques de la Connaissance seront de plus en plus largement connues. Bien que Patrick Wilson pense que ça invalide laffirmation de M quil est un véhicule spécial de la Connaissance, je pense au contraire que ça renforce son identité de véritable maître vivant. Il faut porter au crédit particulier de Shri Hans quil a rejeté le matérialisme de Dayalbagh et quil a pris son propre chemin, mettant la C en avant. Il semble pourtant que les PWKs (personnes ayant la connaissance, ndt) puissent être embrouillées par 1. La notion quil puisse y avoir plus quun maître vivant à une même époque (Patrick Wilson affirme avoir un E-mail de Lane où il dit que Shri Maharaji avait été initié à la fois par Sawan Singh et par Anand Swarup, et où il affirme que les deux maîtres co-existaient dans un respect mutuel), 2. Le fait que Anand Swarup était un personnage important et non un maître mineur, 3. Le fait quil était basé à Agra et non au Pakistan actuel, 4. Le fait quil y a une grande quantité de documents sur la RT et ses divers maîtres. Beaucoup des documents sur Internet concernent dabord ce qui pourrait être considéré comme un usage débauché de fonds à la fin des années 70, particulièrement en relation avec Deca, avec des histoires potentiellement dommageables sur la manière dont ces fonds étaient collectés et traités. Deuxièmement, comme je lai rapporté après ma première rencontre avec Patrick Wilson, les très mauvais sentiments que beaucoup de personnes semblent avoir comme résultat de leur vie à lashram de 1978 jusquà leur fermeture, vers 1983. Il faudra à mon avis soccuper de ces deux problèmes à un moment ou à un autre, car ils sont exprimés avec tant de force et de ressentiment quils ne disparaîtront pas tout seuls. Sils sont ignorés, surtout le second, ils vont continuer à senvenimer et rester une source continuelle de dommage potentiel pour le travail actuel de M. Les histoires à propos de la vie privée de M, en particulier linterview de Mishler, peuvent être facilement gérées en soulignant la vie exemplaire quil a généralement menée, surtout si on la compare aux abus extrêmes commis par dautres maîtres sur leurs disciples. Dans quelque domaine que ce soit, M est de très très loin le meilleur. Même son alcoolisme rapporté par Mishler, au moment du schisme familial, et il faut bien en supposer lexagération nécessaire au gonflement de lhistoire dramatique que raconte Mishler, est compréhensible si on pense au stress incroyable que M a vécu à cette époque, combiné à son propre besoin davoir une vie normale agrémentée de ses propres peines et de ses expériences de jeunesse. On ne peut répondre à lhistoire du 707, à mon avis, quen ne la cachant pas. Il faut ladmettre (si des journalistes nous confrontent à de telles questions), et dire que Maharaji avait lintention de créer un quartier général itinérant, ce qui est vrai, grâce auquel lui, un large groupe dinstructeurs et des aides de son organisation auraient pu voyager de pays en pays dans son effort pour propager la connaissance largement et très loin. Le plan était donc honorable, mais il sest avéré quil nétait pas praticable. M labandonna donc au cours de sa recherche de la bonne formule pour poursuivre son travail. Il faut aussi ajouter que peu après, il a décidé de mettre fin au système des ashrams qui sétait avéré impraticable dans les pays occidentaux, et quil a passé deux années en semi-retraite, à réfléchir à la manière dont il allait aller de lavant. Comme le souligne le journaliste du New Yorker en réponse aux lettres exprimant de la colère sur le sujet à cette époque, il faut mettre au crédit de M que, plutôt que de rester dans la même ornière que tous les autres soi-disant gourous, M a eu le courage de changer les choses. Le résultat de ceci, cest quen retour il a repris son rôle dêtre humain responsable de famille, et quil a cessé de faire du prosélytisme au nom de M. Ce qui est plus difficile à justifier, cest la décoration somptueuse de lavion les robinets plaqués or etc. Quand une personne qui a travaillé dans lavion affirme quil y avait un diamant incrusté dans le siège des toilettes, il le dit avec une exagération telle quon sent que lopulence nest pas loin. Il faut laccepter et lécarter en disant que oui, M voulait quil y ait le plus grand confort parce quil avait lintention dy vivre la plupart du temps, telle est notre réponse. La propriété et le financement du projet pourraient causer dautres complications, EV-US le possédait-il ? Si ça nétait pas le cas, ça aurait pu être illégal, et il faut consulter Virgil pour connaître notre position sur ce sujet. La question des ashrams est encore plus difficile à gérer. Beaucoup des correspondants semblent exprimer quils se sont faits gravement abuser, quon a profité deux, et quils ont gâché des années de leurs vies pour quelque chose quon leur avait promis comme valable et permanent, et qui ne la pas été. David Smith en particulier est critiqué pour ce qui est considéré comme son attitude inhumaine vis à vis des sentiments personnels, lorsquil exécutait les instructions de M (ce qu'on comprend) pour encourager les pwks (personnes ayant la connaissance, ndt) mariés à mettre fin à leurs relations et à entrer à lashram. Il est par dessus tout fait constamment référence à un meeting que M a tenu avec les pwks à Kissimee où il a été compris quil disait que lashram était permanent, que ses habitants étaient ses élus de pointe, et où ils ont aussi été impressionnés par ses justificatifs divins lorsquil disait quil pourrait, sil le voulait, les colorer en bleu et les faire voler. Il a fermé les ashrams peu après, laissant ces personnes avec un énorme sentiment dabandon. Ce qui est demandé sur Internet, cest que Maharaji reconnaisse ce qui sest passé, et quil lexplique ou quil sen excuse. On peut bien sûr souligner que 1 la vie dans les ashrams de M, même en ces jours 'sombres', tels quils sont perçus, était respectueuse des individus, merveilleuse et après tout basée sur le volontariat, surtout si on la compare aux vrais abus perpétrés par les autres soi-disant maîtres sur leurs disciples. 2 encore une fois il sagissait dune expérimentation, et M essayait pour la première fois dimporter dans les pays occidentaux la manière traditionnelle dont la C était enseignée et pratiquée. En faisant ces essais et ces erreurs, il a découvert que ça ne marchait pas. Puis il a eu le courage dabandonner, afin de diminuer ses pertes, tout en sachant que ça causerait des souffrances à ceux qui étaient devenus dépendants du système des ashrams. Cest toute cette expérience qui a mené à ce que nous avons aujourdhui, une manière de répandre la Connaissance combinant efficacité et humanité. Si quelques personnes sont fâchées davoir été 'piégées' à lashram à cette époque, cest regrettable, mais cétait un choix quelles ont fait librement. Bien loin de flétrir des carrières, etc, quelques années dans un environnement monastique dédié à la beauté intérieure, ne peut être revendiqué comme du temps perdu ou gaspillé; il y a une autre valeur à laquelle il faut donner quelque crédit. La seule vraie réponse à ceci, cest que M lui-même sest prêté de toute son autorité à persuader des gens à adopter ce mode de vie, ce qui était proche dune négation de la liberté et du choix de chacun, et a mené à un fort ressentiment à son encontre. Cest comme sils voulaient quil reconnaisse quil aurait pu involontairement les tromper, et même quil sen excuse. Je ne vois pas comment il pourrait le faire car 1. cest leur propre incompréhension qui a été la cause fondamentale de leur problème et 2. cela voudrait dire que des demandes dindemnités pourraient surgir. Mais y répondre pourrait être une manière efficace de neutraliser ces sentiments violents contre M. Si cet aiguillon est retiré, beaucoup du reste des critiques sur Internet commencerait à désenfler. Dans leurs correspondances, les pwks qui défendent M font empirer la situation en exprimant leur colère dévotionnelle justifiée et intempérée. Même Linda Gross nous rend un mauvais service en se permettant dêtre dénoncée comme quelquun qui a dit des mots tels que 'vous nobtiendrez pas de réponses à vos questions tant que vous ne lui témoignerez pas le respect quil mérite', ce qui amené davantage de dérision.
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Commentaires de Patrick Wilson sur le Forum VII, le 3 Avril 2002. Sujet: Anticipation du 'memo' de Glen à venir D'après ce que je comprends, John MG est sur le point de rendre public un autre 'memo' de Glen au sujet des origines indiennes, telles que nous les comprenions à cette époque (1997). Il semble que tout le monde est très impatient de lire ce texte. Mais il me semble important d'éclaircir le fait que ce que je savais à l'époque était partiellement correct, mais aussi partiellement inexact. Comme vous allez le voir, c'est ce que révèlent les commentaires de Glen. (Glen y accrédite à nouveau mes qualités de 'critique Internet'.) J'avais prêté à Glen un livre que je lisais, 'Radhasoami Reality', qui parle des groupes de cette tradition, et d'un de leurs gourous qui s'appelait Swarupanand - dont nous pensions tous deux qu'il était probablement le gourou de Shri Hans. J'ai appris par la suite que ça n'était pas le cas, et qu'en réalité c'est le Swarupanand de la tradition Advait mat qui avait été le gourou de Shri Hans. J'espère que Glen a mis sa bibliographie à jour depuis cette époque. Pas mal de personnes ont fait des recherches sur le sujet depuis cette date - y compris Maharaji lui-même je suppose. Son site Internet précédent en a fait l'écho. (Je suspecte Ron Geaves d'être le premie le plus sérieusement intéressé par ce sujet, peut-être même plus que Maharaji). En lisant la missive de Glen, il est important de se souvenir que la Tradition Radhasoami n'est importante que pour les points suivants: 1) Point mineur: David Lane rend compte du fait que Shri Hans a d'abord été initié par un de leurs gourous, du nom de Sawan Singh. Ce n'est que plus tard qu'il a rejoint l'Advait Mat et le groupe de Sarupanand, pour devenir son disciple. 2) L'enseignement Radhasoami est extrêmement voisin de celui des groupes Advait Mat, et de celui, plus tardif, de la DLM. La méditation, le vocabulaire, la croyance dans le Satgourou, le Service et le Satsang sont pratiquement identiques. Il est très vraisemblable que Shri Hans a été influencé par Radhasoami qui était très important à cette époque. Je dirais même qu'il est impossible qu'il ne l'ait pas été. Je me suis penché récemment un peu plus sur la question du lignage, énormément aidé par le fait que quelqu'un (JM je crois) a mis sur le site EPO pratiquement tout le livre de l'histoire de l'Advait Mat. Ce livre, le 'Shri Paramhans Advait Mat', documente leur lignage de manière très détaillée jusqu'à Dayal (alias Advaitanand) 1846-1919, et pointe vers d'autres gourous beaucoup plus anciens. Le pire, c'est qu'il y a encore une autre sources de confusion avec le groupe Radhasoami, parce que leur lignage remonte aussi à un personnage du nom de Dayal !! Mais il doit s'agir d'une autre personne car les lieux et les dates sont différents. Quoi qu'il en soit, vous serez peut-être surpris d'entendre que mes propres conclusions ne sont pas éloignées de celles de Ron Geaves et de Maharaji lui-même. Si ce livre dit vrai, le lignage qui mène à Swarupanand ressemble à ce qui suit: - ??? (lire les commentaires sur Totapuri) - Swami Anandpuri Ji (il a initié Advaitanand en 1884) - Dayal (alias Advaitanand) )1846-1919 (Il y avait un portrait de lui sur l'ancien site de M, et le même portrait se trouve sur le site de Shri Nangli Sahib / Advait Mat .... A ce propos, on m'a dit que 'Nangli Sahib' est un lieu/village en Inde). 'On peut mentionner ici que Son père (celui d'Advaitanand), le Pandit Tulsi Das, avait été initié - bien avant Sa naissance - à la connaissance spirituelle par un Saint d'un ordre très élevé - généralement connu sous le nom de 'Paramhansa Kedarghat Kashiwale', qui venait souvent leur rendre visite. Il est aussi arrivé à Paramhansa Kedarghat Kashiwale de venir chez Lala Narhar Pershad. Ce dernier était un disciple fidèle de son propre disciple (Pandit Tulsi Das Ji). En 1860, alors que Shri Paramhansa Dayal Ji était âgé de 14 ans, Lala Narhar Pershad Ji est décédé. Après la mort de Lala Ji, et tant que la femme de Lala a vécu, le dit Saint a continué à leur rendre visite (à la famille de Lala). Il (Paramhansa Kedarghat Kashiwale) parlait à Shri Swami Advait Anand Ji d'une façon très affectueuse, et l'appelait 'Hapu Baba'. Ce dernier fut formellement initié à la connaissance spirituelle par cette Grande Ame en un jour mémorable.' plus loin ... ' ... C'est alors qu'Il (Advaitanand) rencontra Shri Swami Anandpuri Ji Maharaj. Ils eurent une discussion spirituelle. De lui-même, Shri Swami Anandpuri Ji Lui enseigna diverses méthodes de méditation, qu'Il connaissait déjà. Mais, selon les instructions de Son Maître, Shri Paramhansa de Kedar Ghat, Il ne révéla jamais à personne ces méthodes de méditation. Quand Shri Swami Anandpuri Ji atteignit l'âge de 90 ans, ses disciples remarquèrent que l'affection de Shri Swami Ji pour Shri Paramhansa Dayal Ji (alias Advaitanand) était grande. L'un d'eux, Lala Mahabir Prasad Ji, adressa un jour cette prière à Shri Swami Anandpuri Ji: 'Maharaj ! Qui va te succéder ?' A ce moment, Shri Swami Ji écrit en Urdu sur un papier: 'Acceptez Paramhansa Ram Yaad.' (alias Dayal alias Advaitanand !) A ce moment, Shri Paramhansa Dayal Ji était à un autre endroit à proximité. Lorsque la fin de Shri Swami Anandpuri Ji s'est approchée, il fit appeler Shri Paramhansa Dayal Ji à Jaipur. Après la mort de Shri Swami Anandpuri Ji, Darogha Ram Chandra et d'autres disciples du regretté Shri Swami Ji, revêtirent Shri Paramhansa Dayal Ji d'un Doshala de valeur (un fin châle de laine) pour marquer la succession. Mais Il était d'une nature indépendante, et il aimait rarement rester au même endroit. Il remit donc le service de l'Ashram de Shri Swami Ji à un de ses disciples éminent, s'en libérant ainsi. Sur l'insistance des disciples, Il dit: 'J'ai décidé d'être un Sannyasa pour méditer et pour Me dévouer au service de l'humanité en général. Je ne souhaite pas rester en un endroit précis.' Il partit donc pour Dwarka.' et enfin 'Shri Paramhansa Dayal Ji désira dire au revoir à ce monde. Après avoir appointé Shri Swami Swarup Anand Ji pour être Son successeur spirituel, le 3 Mai 1919.' Swarupanand 1884-1936 (Dont un portrait figure aussi sur l'ancien site de M, tout comme sur celui de Nangli Sahib / Advait Mat) 'Je (Swarupanand) souhaite appointer l'Un de vous comme chef auquel Tous devront obéir. Qui sera donc le chef parmi vous quatre ? Indiquant Shri Swami Vairag Anand Ji Maharaj, le Troisième Maître, ils demandèrent tous, - 'Oh Seigneur ! Ce sera Lui notre chef.' Le Second Maître (Swarupanand) remarqua, 'C'est aussi mon souhait. Il sera votre chef. Il s'assiéra sur le 'Palang' (le petit siège bas du Gourou), et il donnera ses ordres. Vous agirez tous en conséquence.' Ils se prosternèrent tous devant le Maître, et dirent, 'Oh Seigneur ! Nous acceptons tes ordres avec le plus grand respect.' Le Second Maître prit à nouveau la main de Shri Swami Vairag Anand Ji Maharaj dans la sienne, en présence d'eux tous, et remarqua, - 'Très bien, Il sera votre chef. Etes-vous tous d'accord ?' Ils se prosternèrent tous pour signifier leur acceptation. Puis Il donna tout ces ordres secrets dont personne d'extérieur ne sut rien.' Vairaganand 1898-1970/80? (Dont le portrait figure sur le site Nangli Sahib / Advait Mat, mais évidemment pas sur l'ancien site de M, puisque la version DLM de cet événement est que Shri Hans fut le successeur de Swarupanand.) NB. Shri Hans fut sans aucun doute disciple de Swarupanand. Voici la version DLM des événements: '... lorsqu'Il (Shri Hans) rencontra Swami Swarupanand, le saint qui devint son Maître Spirituel, il se dévoua totalement et plongea dans l'océan infini de la sagesse spirituelle. Son Gourou déclara, 'Je suis dans le coeur de Hans, et il est dans mon coeur', et il devint le successeur de Swami Swarupanand. Aux premiers jours de sa mission, Shri Hans Ji Maharaj dissémina la Connaissance Spirituelle au Sind et à Lahore. A partir de 1930, il enseigna à Delhi ...' et aussi ... 'Plus
tard, un disciple proche de Maharaj Ji (Shri Hans) a
révélé les incidents suivants. Une
fois, les disciples de Dada Guru (un surnom du gourou de
Shri Hans) étaient assis en présence de leur
maître. Le Dada Guru a pris la main de Shri Hans en
disant à ses disciples qu'ils devraient suivre Hans
après sa mort. Cette histoire eut une fin ironique.
Après sa mort, un petit groupe dirigé par un
individu du nom de Varaganand désobéit
à son maître, et ils refusèrent de
suivre Shri Maharaj Ji. Varaganand revendiqua les biens de
son gourou décédé, et se mit de
lui-même à sa place. Shri Hans, à qui
avait été accordée la divine
propriété du Ram Nam, n'était pas
attiré par les richesses périssables de ce
monde. Suivant les ordres de son Maître, il
commença à propager le Saint Nom.' Shri Swami Beant Anand Ji Maharaj Cette personne est probablement encore vivante.
Plus je considère ces faits, plus j'y vois un thème récurrent. La plupart de ces gourous ont été initiés par plusieurs gourous durant leur vie. Les successions étaient toujours 'à saisir', et ceux qui se retrouvaient avec les biens et l'argent étaient ceux qui étaient les plus 'reconnus'. (Tout le monde s'accorde généralement sur ce point.) Il est dit quelque part sur un document figurant sur EPO que Swarupanand demanda à beaucoup de mahatmas de poursuivre son travail. Il est certain que certains d'entre eux furent et sont encore hautement révérés - comme des maîtres de moindre importance. (Allez consulter le site de 'Nangli Sahib' pour le constater.) L'idée selon laquelle il n'y aurait qu'un seul véritable Maître Parfait semble donc de plus en plus indéfendable. Un parfait exemple est constitué par le fait que Satpal (le propre frère de M) est actuellement un 'Maître Parfait' très populaire en Inde. J'ai eu hier une discussion avec un spécialiste qui revient d'Inde; selon lui, Satpal y est beaucoup plus populaire que Maharaji (Prempal). Sans parler du personnage de Beant Anand Ji ... Je pense finalement que Ron Geaves est d'accord avec le lignage que je viens de décrire, tout en étant convaincu que Swarupanand a donné à Shri Hans les insignes officiels du pouvoir, et non à Vairaganand. Chacun est libre de croire ce qu'il veut, mais comme l'un d'eux me l'a souligné, les spécialistes ont tendance à se baser sur les documents écrits, et le livre 'Shri Paramhans Advait Mat' est considérablement documenté et exhaustif, contrairement aux brèves indications sur Swarupanand qui figurent dans le livre de la DLM sur la vie de Shri Hans. Incidemment, Ron Geaves semble aller plus loin dans le passé que je ne l'ai fait. Il semble relier Swami Anandpuri Ji avec un fameux gourou du nom de Totapuri. (et donc lui relier Maharaji.) Totapuri fut lié à Ramakrishna, un autre 'Saint' très populaire et très révéré en Inde. A ce propos, certains spécialistes semblent s'accorder sur les preuves évidentes de relations sexuelles entre ces deux personnages ! (Sans doute une histoire tantrique ...) Le lignage est un instrument utilisé par des personnes pour étayer leur situation ou leur identité. 'Je suis un descendant de Guillaume le Conquérant'. La généalogie montre que nous avons beaucoup plus de liens que nous le pensons de prime abord, et souligner une 'racine' particulière est ce qu'on fait en général pour se donner de l'importance ou pour impressionner les autres. Les premies peuvent bien penser que Maharaji est l' 'héritier spirituel' d'une ligne unique et particulièrement bénéfique de Maîtres Parfaits. Mais cela me semble assez indéfendable, étant donné la quantité énorme de désirs à prendre pour des réalités cités ci-dessus pour en arriver à cette conclusion. Les ex-premies peuvent penser qu'il est prouvé que ce lignage est faux. Je dirais plutôt que la notion de 'lignage' devrait plutôt être considérée pour ce qu'elle est - un mécanisme fait pour impressionner, en associant ou en ajoutant du poids à cette idée qu'il y aurait une transmission matérielle du manteau d'un 'Maître' au suivant. Les querelles de lignage et d'authenticité ne sont pas nouvelles chez les Gourous. Maharaji, Satpal, Beant Ji etc, et des générations de prétendants au titre de Maître, ont avant eux écarté de telles critiques en citant, selon les circonstances, tel ou tel des arguments qui suivent: A) Leur situation de Maître n'est pas héritée, mais ils sont nés avec cette qualité. B) Cette question n'a pas de sens. N'y pensez pas car vous vous y perdrez. L'expérience parle d'elle-même. C) Ceux qui prétendent au titre sont des scélérats, ils ont tort, ou ce sont des êtres inférieurs. (Combien de fois avez-vous entendu un gourou dire, 'Hé, vous devriez aller voir untel, il est un Maître plus grand que moi' ?) Maharaji n'est pas seul qui aime dire à l'occasion des choses comme : 'Voilà tout ce que l'on sait de l'histoire de la Connaissance'. Ma Conclusion Cette histoire de lignage n'a pas de sens, si ce n'est qu'elle porte l'attention sur la manière dont les Gourous, et peut-être surtout leurs disciples, y accordent de la valeur quand ça les arrange, et qu'elle montre à quel point leur mode de pensée peut être pompeux et naïf. L'intérêt de l'attention qu'on peut porter aux Lignages, avec autant de soin historique que possible, c'est que ça démystifie le 'bourrage de crâne' selon lequel il y a toujours eu une transmission claire du pouvoir d'un Gourou à un autre Gourou. Rien ne pourrait être moins vrai. Il est ainsi possible qu'un premie puisse apprendre à quel point il est 'improbable' que son Maître et sa 'Connaissance' soient si uniques, et qu'il puisse aussi comprendre les raisons plus prosaïques qui sont la cause du statut de son Maître et du contexte social qui a fait qu'il est ce qu'il est. En d'autres termes, étant donné les conditions sociales et les influences qui ont entouré Maharaji dans sa jeunesse, il serait difficile d'imaginer comment il aurait pu grandir en pensant qu'il était autre chose qu'un Maître Parfait (sans la nécessité d'une 'Intervention Divine'). Je commenterai le message de Glen quand John l'aura mis sur le Forum. Mais j'avoue que je pense que toute tentative de déboulonner le lignage de Maharaji est aussi futile que d'essayer de le vérifier. La valeur de toutes ces informations, comme je l'ai déjà dit, c'est surtout qu'elles permettent de comprendre leur influence sur nous - pas de prouver ou d'invalider ce qui sera toujours sujet à interprétations.
Sujet: Autres informations importantes Cette fois-ci par un email, qui m'a été envoyé en réponse au message précédent (ci-dessus, ndt). Il provient d'un ami qui souhaite garder l'anonymat. Ca vaut vraiment la peine de le lire, et de constater à quel point 'le complot s'epaissit' à sa lecture. Il soulève le point important selon lequel Shri Hans a commencé sa mission avant que son gourou, S(w)arupanand, ne disparaisse. J'avais aussi remarqué ce fait en comparant les dates de Sarupanand à celles données par la DLM dans son livre sur Shri Hans: (Voir plus haut sur cette page.) Voici
l'email que j'ai reçu ce matin - prenez svp le temps
de le lire car il est rempli d'informations
importantes: J'ai fait mes propres recherches pour les mêmes raisons que toi, et j'en arrive pratiquement aux mêmes conclusions. Il y a un projet que j'aimerais accomplir, c'est de reconstruire les lignages en me basant sur le fameux livre de Paul Brunton 'Recherches dans l'Inde Secrète'. C'est ce même livre qui m'a mené à toute cette salade. J'espère obtenir une mission pour y travailler. L'affaire principale qui concerne toutes les successions de Gourous, c'est les QUERELLES. Je relève quelques points de ton message : Je lis rarement les messages du Forum, bien qu'il accomplisse bien son rôle, sans aucun doute, et tu y apportes, toi particulièrement, des éléments de valeur. En ce qui concerne le lignage, je suis en pleine conversation avec l'ashram de Nangli Sahib à Delhi, et c'est moi qui avais signalé à l'origine cette organisation à J-M Kahn. Récemment, après les avoir davantage questionnés et leur avoir fourni des liens avec des documents pertinents, j'ai été informé, d'une manière assez vigoureuse, de ce qui suit : * Sarupanand a bien demandé à tous ses mahatmas de poursuivre son travail, brisant ainsi une tradition longuement établie. Comme en Islam où Mahomet est révéré comme le dernier prophète. * Vairaganand avait été nommé responsable de l'ashram d'Anandpuri, puis il est devenu un renégat. Il a fini par mourir de folie à l'hopital, difficile d'appeler ca un Mahasamadhi ! * Beantanand a pris sa suite, et il est mort de la même maladie. (Je possède quelque part une chronologie exacte) * Leur Maître actuel s'appelle Darshan Purnanand (il a 84 ans), il vit près d'Anandpuri, il est veu à Londres l'an passé, et il parle anglais. Leur ashram est situé dans le nord de Londres. (voir Google) * Mon contact me dit que les gens de Nangli Sahib rejettent le lignage de Advait Mat, bien que lui, dans la vraie tradition indienne, leur accorde beaucoup de considération, et il me dit que si je voulais la connaissance, je pourrais aussi bien m'adresser à eux qu'au groupe auquel il appartient ! ! (et qui hérite de Sarupanand je suppose) * L'ashram d'Anandpuri semble être une réalisation incroyable - une véritable ville. * En ce qui concerne Tota Puri, il figure aussi sur la liste de Nangli Sahib. Mais dans Kali's Child (L'Enfant de Kali), le livre de Jeffrey Kirpal (un peu sec et universitaire), il est décrit comme un Sadhu errant, un Shivaite Tantrique qui a vraisemblablement couru après Ramakrishna, qui était sans aucun doute une drag queen. (Pousse toi Satya Sai Baba). Je ne pense pas que ce penchant atténue la valeur de son enseignement, bien qu'il soit un peu étrange qu'il ait été un adepte du tantrisme alors que Vivekananda était adepte du védantisme ! ! * Tota Puri ne cadre avec rien de tout ceci ! (En apparté, si tu cherches un livre étonnant sur le shivaisme tantrique, lis 'The Doctrine of Vibration' (La Doctrine de la Vibration), un pavé assez cosmique, surtout en ce qui concerne le principe du Spanda - ou le 'Saint Nom', comme nous le connaissons.) * Hans a été initié par Mahatma Hira Anand et non par Sarupanand, et les gens de Nangli Sahib pensent qu'il a commencé sa mission avant la mort de Sarupanand. * Que ce soit Nangli Sahib, Radha Soami, Advait Mat, EV, Manav Dharam et les autres, les histoires d'héritage ont le même objet qu'ici - les biens ! (voir Rawat contre Rawat) (Un pays d'agents immobiliers, mais qui leur en voudrait.) *
Tu peux communiquer tout ce qui précède, mais
respecte mon anonymat s'il te
plaît. |